Les implants dentaires sont des racines artificielles en titane qui sont placées dans la mâchoire du patient pour soutenir les nouvelles dents fixes.

Les implants All-on-4 sont posés en une seule séance sous anesthésie locale. L'anesthésie peut être associée à la sédation pour les patients qui sont plus anxieux ou anxieux à propos de la procédure. N'hésitez pas à interroger le dentiste sur cette possibilité.

Il est courant que les patients ne sachent pas si la procédure est douloureuse ou non, mais la vérité est qu'elle est totalement indolore.

Afin de savoir de combien d'implants un patient a besoin, un examen clinique et radiologique doit être effectué, après quoi nous déterminons le nombre d'implants nécessaires.

Bien sûr, cela dépend des soins quotidiens et de l'entretien régulier des implants.

Non. L'âge n'est pas un facteur déterminant lorsqu'il s'agit de poser des implants. Les examens cliniques et radiologiques renseignent sur l'aptitude d'un patient à recevoir des implants ou non.

Oui, il existe un protocole d'action pour ce type de patient. La veille de l'opération, la médication habituelle est remplacée par de l'héparine, et le lendemain de l'opération, le patient reprend sa médication habituelle.

Oui, en effet un pourcentage très élevé de nos patients souffrent d'ostéoporose. Dans ces cas, cependant, les compétences chirurgicales de l'implantologue et un bon diagnostic et une bonne planification sont plus importants que les caractéristiques physiques du patient.

Les implants passent par un processus appelé « ostéointégration ». Seuls 1,5 % des cas ne parviennent pas à s'intégrer, mais dans ces cas, l'implant All-on-4 peut être réinséré après le processus de cicatrisation.

De nos jours, une bouche avec peu d'os est parfaitement compatible avec les implants. La dentisterie implantaire a fait de grands progrès ces dernières années et les techniques agressives qui utilisaient l'os de la hanche, du menton ou du tibia sont désormais obsolètes.

Le prix de chaque traitement varie d'un patient à l'autre et dépend du nombre de dents perdues, de la qualité de l'os de la mâchoire et du type de prothèse ultérieure.